Ce n’est pas fréquent qu’un responsable politique s’exprime sur son avenir à moyen terme. L’objectif est simple : ne pas insulter l’avenir et surtout ne pas laisser de traces en cas de revirement, si fréquent en politique. Ce 1er novembre, en déplacement au Kazakhstan, le chef de l’État Emmanel Macron s’est pourtant exprimé sur sa situation personnelle, alors que son second mandat prendra fin en 2027 et que la Constitution remaniée par Nicolas Sarkozy en 2008 ne lui permet pas de concourir à un troisième mandat.